Plusieurs études le démontrent, les chats sont encore plus géniaux qu’on ne le pensait

Les idées reçues ont la dent dure. Celles qui consistent à avancer que les chats seraient plus distants que les chiens, moins attachés à l’humain qu’à ses jouets, qu’à sa nourriture, qu’à ce qui peut le rendre encore plus heureux traversent le temps et rentrent dans les esprits de chacun. Pourtant, cela est bien faux.

Du moins, si l’on se réfère à une étude menée et publiée par des chercheurs de l’Université de l’Orégon il y a quelques mois de cela. Elle en arrive à la conclusion que les félins apprécient plus que tout d’interagir avec les humains, mais que cette relation est autrement plus importante qu’une gamelle de croquettes ou de pâtée.

Ils choisissent l’humain, mais n’en sont pas moins indépendants

Pour en arriver à ce résultat, les scientifiques ont placé 50 chats dans une pièce, les privant d’interaction humaine, de nourriture, de jouets et d’odeurs pendant quelques heures. Puis, ils ont été réintroduits progressivement avec ces 4 choses qui doivent normalement les stimuler. La moitié des chats, soit 50%, a privilégié l’humain au détriment des 3 autres choix qui s’offraient à lui. De fait, oui, les chats sont, comme le suggèrent les résultats de l’étude, plus sociables qu’on pouvait le penser, plus enclins à quémander un câlin qu’à s’en mettre plein les babines.

Une étude qui en complète une autre. Celle menée par l’Université de Lincoln et qui assure que les chats sont plus débrouillards, moins dépendants de l’humain que peut l’être un chien. Cela ne veut pas dire qu’il ne l’apprécie pas, bien au contraire. Mais il aura davantage tendance à faire confiance à ses instincts qu’à son maître dans un nouvel environnement par exemple.

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Plus de réussite dans votre cursus universitaire ?

Posséder un chat est donc un réel bonheur. L’humain y trouve son compte. Des études menées ici et là affirment qu’un homme avec un chat dans un parc est considéré comme « sympathique » par les femmes, à 90% du temps. Par ailleurs, les propriétaires de chats seraient plus susceptibles d’avoir des diplômes universitaires que les propriétaires de chiens. Et, même si vous ne vous dépensez pas autant qu’avec un canidé, garder un chat chez soi est l’assurance de réduire de presque 30% les risques d’une crise cardiaque, quand il ne réduit pas à néant vos allergies si vous en possédez un jeune.

Posséder un chat, c’est donc être en meilleure santé, vivre en parfaite harmonie avec un animal qui comprend plus qu’on ne le pense le genre humain.