Les policiers racontent avec humour le sauvetage d'un chat coincé sous le capot d'une voiture

Le policier ayant rédigé le compte rendu d’une intervention ayant permis de sauver un chaton était visiblement très inspiré. Le texte a été partagé sur les réseaux sociaux par la police nationale de la Charente.

Illustration : "Les policiers racontent avec humour le sauvetage d'un chat coincé sous le capot d'une voiture"

A mesure que le temps se rafraîchit, les incidents impliquant des chats coincés dans le compartiment moteur des voitures se multiplient. Les félins ont, en effet, tendance à se faufiler sous les véhicules à la recherche de cachettes à la fois sûres (elles ne le sont pas en réalité) et offrant un peu de chaleur. Ce qui le met souvent en danger.

C’est ce qui s’est passé récemment en Charente, plus précisément à Châteaubernard, où les forces de l’ordre sont intervenues pour porter secours à un jeune félin. La police nationale de la Charente a relaté ce sauvetage sur sa page Facebook en reprenant le compte rendu teinté d’humour livré par les agents, rapportait Charente Libre.

Le post en question, publié le dimanche 9 octobre, est qualifié de « chavoureux ». On y apprend ainsi que le vendredi 7 octobre, une automobiliste avait sollicité l’aide des policiers après s’être rendu compte de la présence d’un chat sous le capot de sa voiture.

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Photo d'illustration

Malgré une journée que l’on imagine chargée, ils avaient répondu favorablement à la demande de la dame. « Même si nous avons d'autres chats à fouetter, proposons notre aide », indique, en effet, le texte ponctué de tournures de phrases assez drôles et de jeux de mots.

S’ils s’attendaient à avoir affaire à un « tigre », ils se sont aperçus que l’animal en question était, en fait, « un pauvre petit chaton [qui était] coincé dans le passage de roue », poursuit la publication.

La « chatastrophe » a été évitée

Commençait alors un jeu du « chat et de la souris » entre les policiers et l’insaisissable quadrupède, qui s’évertuait à rester hors de portée de ses sauveurs. Ces derniers étaient néanmoins bien déterminés à le libérer, chose qu’ils sont finalement parvenus à faire au prix de gros efforts.

« Conscient d'avoir échappé à la "chatastrophe", le petit chat gris s'en va sans demander son reste », raconte l’auteur du compte rendu. Lui et ses collèges ont ensuite quitté les lieux pour se fondre « dans la nuit où tous les chats sont gris ».

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