Un chaton, jeté dans une benne à ordures, passe inaperçu jusqu’à son arrivée en usine de recyclage

Dernièrement, les employés de l’entreprise J&B Recycling de Hartlepool ont fait une rencontre inattendue. Une chatonne abandonnée dans une benne à ordures quelques jours auparavant a fait son arrivée dans cette usine de recyclage, sans que personne ne s’en rende compte plus tôt.

Une expérience « traumatisante »

Âgée d’à peine 4 semaines, elle a « traversé des machines lourdes », dont une qui « ressemble à un sèche-linge géant, tourne sur elle-même et est percée de différents trous pour trier les matériaux de différentes tailles », raconte Ingrid Brough-Williams, consultante en marketing de l’entreprise.

Hartlepool Mail

Par miracle, la chatonne a été sauvée à temps, bien que les membres de J&B Recycling craignaient qu’elle ne survive pas. « Elle était très déshydratée et sa patte était gravement blessée, rapporte Ingrid au Hartlepool Mail. Je l’ai nourrie à l’aide d’une seringue toutes les heures et l’ai maintenue sur un coussin chauffant. »

Une « petite battante »

La mère de famille est ravie de s’être battue pour la petite chatonne, renommée JB. Aujourd’hui, elle va beaucoup mieux grâce à tout cet amour. « C’est un chat très sociable, elle s’en sort très bien et a un vrai caractère de cochon. C’est vraiment une battante ! » a-t-elle confié.

Elle ajoute : « Elle est très forte d’avoir survécu à tout ça. J’ai décidé de l’adopter, et elle s’est très bien intégrée dans la famille. Mes 2 petits garçons l’adorent, et elle aime mon mari plus que quiconque ! »

Hartlepool Mail

JB a tout de même gardé quelques séquelles de sa mésaventure, et a perdu une partie de sa patte. Heureusement, elle s’en est remise en un rien de temps, et croque désormais la vie à pleines dents.

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Même si cette histoire se termine bien pour la petite JB, les animaux cruellement jetés dans les ordures ménagères n’ont pas tous la même chance qu’elle. Pour Vikki Jackson-Smith, directrice générale de J&B Recycling, il est essentiel que les gens cessent d’avoir recours à ces actes de maltraitance.