Le chaton passé au four sauvé par un vétérinaire grâce aux dons !

Un petit chaton a été secouru en Belgique, par une équipe de vétérinaires qui l’a reçu dans un triste état : brûlé et en sang. Et pour cause, l’animal avait été pris pour un ballon de football et passé au four par son ex-propriétaire. La campagne de financement participatif, pour soigner ce chat, a été un franc succès.

Illustration : "Le chaton passé au four sauvé par un vétérinaire grâce aux dons !"

Sprotje s’en sort pour le moins très bien. Ce chat belge vivait chez une famille du côté de Courtrai. Nous vous avons raconté sa triste histoire, même s'il s'en est finalement sorti plutôt bien. Rappel : il y a une semaine de cela, il avait été conduit chez un vétérinaire. Ce dernier constata avec frayeur que l’animal présentait de graves brûlures un peu partout sur le corps ainsi que des saignements.

Assez logique quand on sait comment ce chat a été maltraité par sa famille. En effet, son propriétaire l’avait d’abord pris pour un ballon de football, puis l’avait mis au four pendant un quart d’heure ! Incroyable, mais vrai.

Une opération de crowdfunding est rapidement mise en place afin de venir en aide à Sprotje. Elle a connu un vif succès. Les gens ont tout de suite été pris d’émotion quant au sort de cette boule de poils. Et ils ont donné, beaucoup…beaucoup trop. 14 000 € alors que seuls 3 000 € étaient nécessaires.

« Il mange bien et n’est plus en danger de mort »

De fait, le vétérinaire a décidé de reverser 11 000 € à des associations de protection des animaux. « Le reste de l'argent sera utilisé pour la procédure juridique contre l'auteur des faits », explique à RTL Valérie Huvaere, vétérinaire au cabinet qui a soigné le chaton. Il a fallu un peu plus d'argent pour les soins du chat, car ses problèmes étaient plus intenses que prévu. Tout le côté gauche du chat a été brûlé. Mais, il mange bien et n'est plus en danger de mort. »

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Aujourd’hui, Sprotje continue de se remettre, et sera bientôt prêt à l’adoption. Quelques familles se sont portées volontaires et ont été retenues par les équipes de soigneurs. « Nous conseillons aux gens de visiter un refuge. Il y a plein de 'Sprotjes' qui ne demandent qu'à être adoptés », rappelle également Valérie.

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