Un homme qui n’aimait pas les félins tombe amoureux d’un chat grâce à un programme unique

Face à la caméra, Peter Hogarth regarde son tabby gris, Bob, avec une tendresse infinie. Qui pourrait croire que cet Australien n’aimait pas les chats autrefois ? En effet, l’homme avait de nombreux a priori sur ces boules de poils, mais c’était avant de les connaître. Souhaitant s’ouvrir à la possibilité de découvrir nos amis félins, il a décidé de participer à un programme unique en son genre.

Ce dernier, nommé “Système de conversion”, a été impulsé par la célèbre marque d’aliments pour chats, Whiskas. Le principe est très simple : convertir des personnes qui n’aiment pas les chats en amoureux des félins. Un pari plutôt osé, mais qui a pourtant déjà porté ses fruits.

Peter Hogarth

Évincer les préjugés

Les instigateurs de ce projet, déployé en Australie, ont découvert que de nombreuses personnes déclarant ne pas aimer les chats n’en avaient en fait jamais côtoyé. Pourtant, selon les résultats d’une étude menée dans le cadre de ce programme, beaucoup d’entre eux seraient compatibles avec un félin : « 64 % des Australiens déclarent préférer un animal de compagnie indépendant qui ne nécessite pas une attention constante, des qualités que les chats incarnent naturellement. Ainsi, les chats pourraient en fait être des animaux de compagnie idéaux pour ceux qui pensent ne pas les aimer », assurait la psychologue comportementale, Juliette Tobias-Webb.

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Au-delà de cela, nombreux sont ceux qui se fient aux stéréotypes des chats, jugés indépendants, froids ou encore distants. Pourtant, une fois l’animal à la maison, il n’en est rien. C’est ce que Peter a découvert en accueillant Bob après avoir intégré le programme : « Je pensais que les chats restaient dans leur espace, mais Bob saute sur le canapé, glisse à côté de moi et me lance un regard qui veut dire : "Hé, c'est l'heure des câlins” », témoignait l’homme.

Lequel a assuré avoir pris « beaucoup de plaisir » au cours de cette expérience. Nos boules de poils à moustaches sont certainement bien moins terribles qu'il n'y paraît ! En tout cas, Whiskas va poursuivre son étude pour le prouver.