Séquestrée et battue par son petit-ami, elle parvient à s'en sortir grâce à son chien et son vétérinaire !

Un chien a indirectement sauvé la vie de sa maîtresse, retenue prisonnière par son petit-ami, qui menaçait de la tuer et la rouait de coups. Grâce à une visite chez le vétérinaire et à un petit message transmis, la police a pu interpeller l’agresseur.

Illustration : "Séquestrée et battue par son petit-ami, elle parvient à s'en sortir grâce à son chien et son vétérinaire !"

Une habitante de Volusia, en Floride (Etats-Unis) a eu la vie sauve grâce à sa rapidité d’esprit et un peu de chance, aussi. Toute la presse se fait écho de cette histoire qui aurait pu finir dans un bain de sang.

Depuis 2 jours, une Américaine se retrouvait séquestrée par son petit-ami, à son domicile de la ville américaine. Ce dernier n’hésitait pas à la battre, à la rouer de coups et à la menacer, même, de la tuer avec une arme à feu.

Comment a-t-elle pu sortir vivante de cet enfer qui était promis à durer ? Vendredi 25 mai, elle parvient à convaincre son bourreau de petit-ami de la laisser sortir afin d’emmener son chien chez un vétérinaire. Bien évidemment, interdiction de filer. Pour s’en assurer, l’homme de 39 ans l’a accompagné, avec un fusil…

« Sans le vétérinaire, cette histoire aurait pu très mal finir »

Une fois chez le vétérinaire, il a fallu tout le sang-froid de cette Américaine pour glisser un message, écrit sur un bout de papier, dans la main du vétérinaire. « Appelez la police, mon petit ami me menace. Il a une arme. S’il vous plaît, ne le lui dites rien. » Un acte possible en mettant le chien sur la table d’examen.

Illustration de l'article : Séquestrée et battue par son petit-ami, elle parvient à s'en sortir grâce à son chien et son vétérinaire !

A lire aussi : Un chiot sauvé après une amputation trouve une famille définitive auprès de sa sauveteuse

Le vétérinaire a aussitôt pris la dimension de cet appel au secours. Il a prévenu le shérif du Comté de Volusia. Ce dernier est parvenu à identifier l’agresseur et il a été interpellé dès son retour de la clinique. « Sans le vétérinaire, cette histoire aurait pu très mal finir », concède le shérif dans une conférence de presse.

Le ravisseur devra répondre devant la justice de menace de mort et violences conjugales au moyen d’une arme.

Aucun commentaire

  • Soyez le premier à commenter cet article !
  • Image de profil