Les policiers arrêtent un chien, le prennent en photo et le place derrière les barreaux…en attendant son propriétaire

Un chien a été pris en photo, comme un fugitif, par la police d’une ville américaine, et placé derrière les barreaux. Le tout, en attendant le propriétaire qui l’avait égaré. Plus drôle que méchant pour un canidé qui a rapidement pu retrouver le chemin de sa maison.

Illustration : "Les policiers arrêtent un chien, le prennent en photo et le place derrière les barreaux…en attendant son propriétaire"

En ce début du mois de juillet, un petit chien a semé la terreur dans la ville de Cape May, dans le New Jersey. Enfin, le terme terreur est un poil exagéré. Disons qu’il a profité d’un beau dimanche après-midi pour se faire la malle de chez son propriétaire, et venir embêter le voisinage.

Alors, le quartier a prévenu les forces de police de la ville. Anthony Marino, chef de la police de Cape May, a déclaré à The Dodo : « Notre officier est descendu et a trouvé le chien. Il l’a ramassé et l’a ramené au commissariat. »

Là, une scène étrange se produit. Pour faire le « buzz » et surtout identifier plus facilement le propriétaire du canidé, les policiers ont pris une photo d’identité du chien, comme s’il s’agissait d’un criminel en cavale.

« C’est ce qui se passe quand vous fuguez de la maison. »

« Ils ont décidé de prendre sa photo pour la diffuser sur les réseaux sociaux de manière humoristique. Nous voulions trouver le propriétaire, car à ce moment-là, nous n’avions aucune idée de son identité », poursuit Anthony.

Dans l’attente de retrouver son foyer, le chien a été placé en isolement, derrière les barreaux. Sous la photo diffusée sur les réseaux sociaux, on peut lire : « C’est ce qui se passe quand vous fuguez de la maison. » Cela permet une prise de conscience plus facile.

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« Nous utilisons beaucoup les réseaux sociaux », concède Anthony. « C’est une bonne façon d’atteindre les gens, de les toucher, mais aussi d’obtenir des pistes pour nos enquêtes. Bien sûr, quelqu’un qui a vu le post Facebook connaissait le propriétaire du chien. Nous avons pu réunir le maître et le chien. »

Une histoire qui se finit bien pour l’homme et Bean !

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