Paralysé du train arrière, un chiot s'est traîné pour trouver de l’aide

Une ONG du Botswana est tombée par hasard sur une chienne dans un état préoccupant. L’animal rampait et était incapable d’utiliser ses pattes arrière. Une paralysie confirmée par les professionnels de la santé, mais qui n’a pas eu raison d’une véritable battante.

Illustration : "Paralysé du train arrière, un chiot s'est traîné pour trouver de l’aide"

Le Botswana renferme peut-être plus de lions que de chiens. Ces derniers font, en tout cas, moins la particularité de ce pays d’Afrique. Mais récemment, c’est bien l’histoire Poppy qui a fait parler d’elle, et que nous relayons. Une histoire mêlant drame, chance et espoirs de lendemains meilleurs.

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Poppy, une magnifique chienne, a miraculeusement été retrouvée par une équipe de bénévoles, réunie sous le nom « Eco Exist ». Une forme de groupe de travail de l’Okavango. Habituellement, les personnes le composant agissent sur la relation entre l’homme et les éléphants, nombreux dans ce pays. Plus rarement sur une histoire comme celle-ci.

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L’équipe de Susanne Vogel est pourtant tombée sur Poppy. Une chienne incapable de se déplacer, visiblement paralysée du train arrière. « Elle est arrivée en rampant », confirmait Susanne sur la page Facebook de l’ONG. Poppy souffrait, mais percevait devant elle l’aide qu’on allait lui apporter. Elle ne s’était pas trompée.

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De faibles chances de survie, mais…

L’organisation a remarqué un écrasement inopérable de la colonne vertébrale, paralysant la chienne dans sa partie arrière. Une paralysie peut-être pas définitive. Les vétérinaires ont confirmé le diagnostic, avouant que les chances de survie, chez une chienne assez jeune comme Poppy (7 mois) n’étaient guère élevées. C’était sans compter sur la volonté de l’animal à se battre.

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Grâce à 10 000 $ de dons récoltés, mais aussi à tout l’amour des volontaires du projet « Eco Exist », Poppy effectue d’importants progrès dans sa rééducation. Elle peut même, désormais, se tenir debout quelques secondes sur ses 4 pattes. Sa soif de vie a séduit une Américaine, désireuse de l’adopter. C’est donc aux Etats-Unis que Poppy poursuit son rétablissement, et apprend à profiter de la vie.

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