Un donateur offre l’incroyable somme de 2 millions d’euros à un refuge dans le besoin

Depuis la pandémie de Covid-19, l’association Victoria Humane Society, basée au Canada, se trouvait dans une situation délicate. Elle a rencontré des difficultés à gérer la hausse d’abandons suite à cette période et s’est retrouvée débordée. Cependant, un incroyable don lui permet aujourd’hui d’envisager de nouveaux objectifs.

Cela faisait plusieurs années que l’organisme de sauvetage travaillait sous tension, rapportait Victoria News. De nombreuses familles ont adopté des animaux pendant la dernière pandémie et les ont abandonnés par la suite en reprenant leur ancienne vie. À ce jour encore, les associations paient ce manque d’anticipation.

Victoria Humane Society / Facebook

Un appel à l’aide

C’était le cas de la Victoria Humane Society, qui a continué d’accueillir des animaux jusqu’au point de non-retour. En effet, l'organisation acceptait de prendre en charge les chiens et chats abandonnés, mais les adoptions étaient moins importantes. Ses locaux se sont remplis petit à petit et, malgré le dévouement des familles d’accueil, ont fini par être saturés.

Au mois de mai dernier, le refuge a donc lancé un appel à l’aide pour quiconque pourrait lui offrir une propriété afin de pouvoir prendre en charge les nouveaux arrivants. Lesquels sont désormais fréquemment refusés, faute d’espace. Craig Mearns a vu l’appel au secours et n’est pas resté indifférent.

Harry Corro / Victoria News

Un nouveau souffle

En concertation avec la fondation Mearns Family, dont il fait partie, il a décidé d’offrir 2 millions d’euros au Victoria Humane Society, marquant ainsi un « tournant » dans l’histoire du refuge : « Ils avaient besoin d’un lieu permanent et je voulais les aider à y parvenir. Je crois que ce que fait la Victoria Humane Society pour les animaux vaut la peine d’être investi et l’argent reste ici, il ne va pas dans un siège social quelque part » a-t-il déclaré.

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Une somme colossale qui a permis à l’organisme d’acheter un terrain sur lequel elle prévoit d’héberger davantage de pensionnaires. Un second refuge devrait être construit en 2025 grâce au plan « Building Love », qui prévoit son aménagement.