Un jeune Beagle devient la mascotte d’une brigade de gendarmerie de la Creuse

Taz, jeune Beagle de 6 mois, fait fondre tous ceux qu’il croise avec sa petite bouille craquante. Ce chiot est devenu la mascotte de la gendarmerie de Guéret (23), et bien qu’il ne soit pas formé pour pister ou pour défendre, il est bel et bien apte à donner le sourire à tous ses nouveaux collègues !

Illustration : "Un jeune Beagle devient la mascotte d’une brigade de gendarmerie de la Creuse "

2 fois par semaine, les gendarmes de la brigade de Guéret, dans la Creuse (23), ont l’immense privilège de passer la journée avec Taz. Il s’agit d’un jeune Beagle de 6 mois qui prend un malin plaisir à suivre sa maîtresse, l’adjudante Carlier, sur son lieu de travail.

« Il n’est pas du tout formé gendarmerie, c’est un chien de balade, de cani-cross et de canapé, mais je l’emmène de temps en temps au bureau pour faire plaisir à tout le monde », confiait-elle à France Bleu. Et en effet, les militaires sont conquis.

Taz fait fondre les cœurs

« J’adore les chiens, j’aurais pu être maître-chien, mais je suis motocycliste malheureusement », plaisante le capitaine Lallemand. De quoi rebooster le moral de tous les membres de la brigade !

« On a un travail assez prenant qui nous met sous pression, donc ça permet au personnel de parler d’autre chose que du travail, c’est bien aussi pour la cohésion », ajoute la capitaine Raphanaud, qui amène également son propre chien au bureau de temps en temps.

Un chien qui suscite des vocations

Taz n’est pas que la star de la brigade : il est aussi célèbre sur les réseaux sociaux. Les gendarmes ont choisi de le mettre en scène sur Facebook afin de valoriser le métier d’enquêteur. Pour ce faire, ils ont simulé sa disparition et expliqué la manière dont se déroule leur travail.

C’est l’adjudant-chef Sylvain Piot qui a eu cette idée. « En avril, on voulait valoriser nos métiers de spécialistes. On les a mis en lumière grâce à Taz, qui a disparu. Tous les savoir-faire de nos spécialistes sont utilisés pour retrouver la trace de ce petit chien. »

Une façon de susciter des vocations et d’afficher une communication positive, selon l'adjudant-chef. « Cela a du succès, les gens renvoient des choses très sympathiques, l'image du chien plait énormément. Faire connaître nos métiers c'est les valoriser. Ça ne fait jamais de mal dans les temps actuels d'avoir un peu de positif. »

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Taz sera bientôt rejoint par un Berger Belge Malinois, néanmoins, ce dernier sera bel et bien là pour travailler : ce chien « piste-défense » est formé à la recherche de personnes et constituera la nouvelle équipe cynophile de la brigade.

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