Une étude explique pourquoi l'on peut être plus sensible à la souffrance d’un chien que celle d’un humain
Des chercheurs américains ont tenté de savoir pourquoi, chez certaines personnes, l’empathie envers les chiens en souffrance était plus marquée que celle ressentie envers leurs propres congénères en détresse.
Êtes-vous de ceux qui sont davantage affectés par la souffrance animale que par celle humaine ? Si oui, l’étude dont il est question ici devrait vous intéresser. Réalisée par les professeurs Jack Levin et Arnold Arluke, de l’Université Northeastern (Boston, Massachussetts), elle a été publiée en janvier 2017 sur la plateforme ReasearchGate.
Ces travaux ont notamment consisté à soumettre 240 étudiants à un test : on leur a présenté de faux articles faisant état de l’agression à la batte de baseball sur, selon la version, un humain adulte, un enfant, un chien adulte ou un chiot. Ces personnes ont ensuite été invitées à exprimer leur niveau de compassion vis-à-vis de la victime.
Les auteurs de l’étude ont découvert que les participants ayant lu l’actualité retraçant l’attaque d’un enfant, d’un chien ou d’un chiot éprouvaient une plus grande empathie que ceux ayant appris l’agression d’un humain adulte. Ces gens sont donc plus sensibles à la souffrance d’un chien qu’à celle humaine, mais sur ce dernier point, l’âge entre également en compte, puisque le sort de leur jeune congénère les affecte également.
Or, quel est le point commun entre un chien, un chiot et un enfant ? La vulnérabilité. Nous avons, en effet, tendance à penser – à juste titre – que ces 3 individus ont des capacités de défense moindres, voire nulles, en cas d’agression. C’est la première conclusion formulée par les chercheurs. La seconde théorie avancée par les auteurs de l’étude est que nous considérons généralement les chiens comme des bébés ou des membres de nos familles.
Par Alexandre Dieu
Rédacteur en chef
Passionné d’écriture, des réseaux sociaux (et bien évidemment des animaux), Alexandre Dieu est le rédacteur en chef de Woopets. Diplômé d’un Master Métiers de la rédaction, il travaille en harmonie avec 2 vétérinaires, une éducatrice canine, un journaliste et 2 rédacteurs spécialisés mobilisés pour Woopets.
11 commentaires
Invité a écrit : 26/07/19
moi, je suis désolée de l'avouer..mais je suis beaucoup plus sensible à la souffrance animale qu'à celle d'un humain !!! (sauf évidemment pour les enfants).
J'aime (2) Répondre Signaler
Invité a écrit : 26/07/19
Moi aussi,sauf que les enfants des autres je m'en tape ...
J'aime (1) Répondre Signaler
Invité a écrit : 29/07/19
La souffrance humaine je m en fout royalement mais la souffrance animale la je serais mechante
J'aime (1) Répondre Signaler
Invité a écrit : 31/07/19
Moi je me fou de la souffrance humaine les enfant mes bébé je men fou ,mais les animaux c est Mes amis je fais des dons pour eux et je donnerais tout pour les animaux pacque il sont mieux que mes semblable
J'aime Répondre Signaler
Invité a écrit : 31/07/19
Moi je ne suis pas désolé de dire que je me fou des bebe des enfant et des grande personnes .jai de la compilation que pour les animaux vive les animaux
J'aime Répondre Signaler
Invité a écrit : 01/08/19
ces commentaires sont choquants!
J'aime Répondre Signaler
Invité a écrit : 01/08/19
Moi
J'aime (1) Répondre Signaler
Invité a écrit : 03/08/19
Quel est l’intérêt d'un "article" qui se contente de faire référence à une étude sans en reprendre aucune information (désolé mais tout le monde ne maitrise pas la langue anglaise) pour juste sortir une banalité des plus affligeantes : nous sommes plus sensibles à la souffrance d'un jeune animal qu'à celle d'un adulte car nous y projetons ce que que nous sentons envers les petits de notre propre espèce (au fait, cela s'appelle de l'anthropomorphisme) ?
J'aime Répondre Signaler
Invité a écrit : 16/08/19
il est bien évident que la détresse des bb et des personnes agées ainsi que celle des animaux toutes espèces confondues me touche et provoque en moi une réaction immédiate d'aide…….les animaux en détresse étant plus nombreux sur ma route que celle des humains, je réagis rapidement pour les secourir…c'est plus délicat d'aider un petit enfant maltraité, insulté ou secoué par ses parents qui vont vous sauter a la gorge en vous ordonnant de vous occuper de vos affaires….bien sûr avant d'alerter police et assistantes sociales il faut que la maltraitance soit avérée….. ….porter secours aux plus faibles , les plus fragiles, les plus dépendants est un devoir civique et relève de l'éthique…….…...a chacun sa conscience!!!!
J'aime (1) Répondre Signaler
Invité a écrit : 17/08/19
moi aussi je souffre plus pour les animaux que pour les humains, les animaux sont innocents, voilà pourquoi !
J'aime Répondre Signaler