Moi, ma maîtresse m’aimait beaucoup. Ce qui lui manque le plus c’est d’entendre mon ronronnement de marteau-piquer! Mon frère n’est vraiment pas doué comme moi j’étais. Dîtes-moi, à votre avis, quel aspect de votre vie ensemble manque le plus à vos maitres, maîtresses.
L’aspect de ma Zizis qui me manque le plus, c’était quand je dormais ou que j’étais malade, qu’elle venait “malaxer” mon ventre pour s’y faire un nid et qu’elle passait des fois des heures à dormir comme ça sur mon ventre ou mes jambes
Tout ce qui manque? TOUT, cette façon de courir dans les escaliers pour arriver avant nous, leurs regards, les ronrons dés qu’elles se posaient sur nos genoux, les frôlements le matin pour nous dire bonjour, la présence sur l’oreiller la nuit et la patte posée sur la tête. Cette façon de toujours vouloir boire au robinet. L’accueil quand on rentrait à la maison. TOUT, tout nous manque, elles ne seront jamais remplacées dans notre coeur. Le plus douloureux a été le jour de notre dernière visite chez le véto………Et ce regard qui nous disait"…je souffre..je vous aime..au revoir…merci…..". Maintenant, nous avons d’autres chats qui prennent à leurs tour une nouvelle place dans notre coeur.
Grisette, voilà maintenant 1 an, jour pour jour que tu nous a quitté, tu as crée par ton départ un grand vide, souvent je pense à toi, et souvent je suis triste de ne plus t’avoir à mes côtés, mais je sais que je ne pouvais plus te garder car tu souffrais! je t’aime ma chèrie!!!! tu as rejoins ta soeur, soyez enfin libérées de la souffrance!! je vous aime toutes les deux mes chèries………………………..
kikine
Le Lundi 09 Février 2009 à 19:50 - édité Le Vendredi 27 Février 2009 à 23:56
J’ai perdu mon Barnum hier, il a été foudroyé par des colliques. 17 ans passés ensemble… pas toujours très roses. T’étais pas facile au départ, impossible à attraper! Mais une boule d’amour une fois décidé, mais également très courageux sous la selle (t’arrivais à galoper avec moi sur ton dos!!!).
Et puis, tes fourbures ont commencé, puis pris de l’intensité avec les années. Tu as beaucoup souffert mais tu t’es battu comme un vrai lion. Ces derniers jours, tu avais repris du poids, ton poil était plus brillant, ton oeil plus vif… Juste avant de te trouver mort dans le pré, toute la famille se réjouissait de ta meilleure forme. Tu nous as encore fait un pied de nez, tu es parti avant la prochaine crise. Tu nous manques et la vie va être bien triste sans ta frimousse et ton hénissement si particulier quand tu nous voyait arriver avec le seau de granulés. C’est peut être ce silence qui est le plus lourd quand je vais au fond du jardin et quand je regarde dans le pré.