Loup116 Le Samedi 13 Février 2010 à 13:35 - édité Le Lundi 22 Février 2010 à 23:14
Quelque poème très triste...
J’ai pleuré toute la veille
En apprenant cette affreuse nouvelle
De mon cheval qui n’aura jamais vu la lumière du soleil
Ce joli arabe
Qui se nommait Afamab
Tous ça à cause de mes parents
Et de l’argent
Ces bouts de papier
Qui vont faire écrouler
Tout mon monde entier
Tu étais mon meilleur amie,
Mon cheval à moi,
Celui qui me réchauffai,
Quand j’avais froid,
Quand je m’ennuyais, c’étais vers toi que je me tournais.
On c’est beaucoup amusé à deux on était heureux.
Tu me comprenais.
Et je t’aimais.
L’argent a tous gâché elle ta fais partir jamais je t’oublierais.
O combien je t’aimais.
Le bleu de tes yeux resteras dans le bleu de mes larme.
Non, je ne guérirais pas …
Dans ce passé trop douloureux,
Qui me lit les mains …
Non, je n’oublierais pas,
Ces souvenirs trop heureux,
Qui semblent si loin a mes yeux …
Comment expliquer ce que je ressens en ce moment,
Ces 7 mois passés sans lui,
Sept mois et quatre jours …
J’espère toujours pouvoir tendre la main vers les nuages,
Pour pouvoir tourner la page …
Mais rien n’y fait,
Je n’y arrive pas..
Il est ancré trop profondément dans mon coeur,
Il me remplit de douleur …
Lui qui m’avait tout donner,
Je me remémore chaque détail,
Je me souviens de chaque parole,
De chaque petit geste …
Nous sommes aller trop loin petit ange …
Nous avons galoper dans des cieux qui ne pouvaient exister.
Je donnerais tout pour revenir en arrière,
Je donnerais tout pour ressentir cette chaleur que tu dégageais,
Je donnerais tout pour vivre dans le passé …
Je ne peux oublier ce que tu m’as apporté,
Je ne peux oublier tout cet amour …
Je ne peux oublier notre relation de confiance …
Alors,
Pour la première fois depuis sept mois que tu n’es plus la,
Merci …
Merci d’avoir exister et de m’avoir apporter
Ce qu’aucun autre cheval ne pourra me donner,
Parceque tu as été le premier cheval qui m’a offert ce que j’éspérais,
Parceque tu as été mon quotidien et mon bonheur.
Merci …
Pour ces souvenirs que je ne peux oublier
Pandent que je suis assise confortablement,
Il est seul dans le noir, désespérant,
Pendant que je regarde la télé,
Il voit ses amis malraités,
Pendant que mon coeur est remplie de joie,
Le sien l’est d’effrois,
Pendant que je pense a ma belle journée,
Lui songe a la lumière du jour,
Pendant que je danse,
Il est en proie a la souffrance,
Pendant que je prend un délicieux repas,
Il ferme les yeux pour la dernière fois…
NON A L’HIPPOPHAGIE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!